triggers warnings: mort.

nom, prénom, surnom

gamin, fasciné par le monde, étincelle de vie entre la poésie et la calomnie. qu'un astre brillant au milieu des visages ternis, il s'enflamme le soleil brûlant, ne voit que les cendres de cet univers sanglant dans sa tour bien haute où les mirages ne sont que naufrages. bae, petite lueur dans l'obscurité, il irradie de ses éclats si jolis. lumière résistante au milieu des bombes, elle aveugle de sa candeur lorsque les yeux fixent l'apesanteur. il est pur le gamin hyeon, il émane de cette douceur immaculée. ange déchu aux ailes arrachées, il voudrait se rapprocher du soleil pour sentir la chaleur sur sa peau porcelaine. voir ce que ça fait de se brûler. comme icare l'a fait.


âge et date de naissance

23/12/1999, vingt quatre années à observer le monde qui ne cesse de lui échapper. bae, il marche sur un fil dans le vide, admire le contre bas en se demandant quels seraient les résultats s'il tombait. est ce qu'il finirait en éclats ? funambule qui n'a pas le droit de tester la vie, imposé à suivre un chemin tout tracé avec inertie. il rêve le gamin de pouvoir fuguer parce que son monde n'est pas celui dont il a hérité.


lieu de naissance, nationalité(s) et origine(s)



statut civil, orientation

bouche n'ayant jamais effleurée le goût divin des baisers emplis d'embrun, l'innocence reste intacte et fantasmes s'y échappent. timidité garde pour lui les songes interdits lorsqu'il contemple ces corps qu'il aime tant dessiner entre ses mains. masculin comme une tragédie, la frêle envie de toucher, de voir jusqu'où les courbes peuvent le faire voyager. pour mieux se les approprier, les retranscrire dans ses fresques gravées dans la pierre.


emploi / situation

phalanges peignent les déliés, caressent les silhouettes qu'il n'a jamais pu toucher. l'ange casse la pierre, force les formes pour peindre les corps. marque dans le temps des visages qui finiront par disparaitre sous la douce mort. art qui l'anime et le passionne, bae, il brille lorsqu'il crée de nouveaux traits. qu'il s'inspire du réel pour infuser la beauté. étudiant en sculpture, il brûle de cette passion, comme un moyen de s'exprimer quand il préfère le silence aux envolées.


situation financière / classe sociale

héritage grandiloquent qui attire les vautours si facilement. foyer dégueule de monnaie, fait parti des plus riches du pays quand d'autres crèvent dans les ruelles malfamées.


situation familiale

coeur encore écartelé, les larmes ne cessent de monter quand les mémoires remontent à la surface et que le père n'est plus à sa place. cancer prend sans demander, arrache les sourires pour ne laisser que le vide le plus complet. il voudrait bae remonter le temps pour écrire encore des souvenirs, l'entendre rire. besoin de plus mais pourtant il ne reste plus rien entre ses mains. que des non dits, des silences infinis. et se coudre les lèvres pour ne pas briser l'équilibre instaurée. juste se taire comme si de rien n'était.